Fanny Gloanec (Ainsi naquit la tragédie) – Premier prix de l’appel à textes

Tantôt travailleuse sociale, femme de ménage, professeure bénévole ou gratteuse de papier peint, Fanny Gloanec reste ancrée dans sa vocation première : autrice-exploratrice. Quand elle n’élabore pas un outil révolutionnaire pour faciliter l’écriture de fiction, elle satisfait son insatiable curiosité et imagine des mondes oniriques, emprunts de folklore au caramel, de mythologie au beurre salé et d’humour qui sent les champignons. Membre honorifique de la confrérie secrète des créatures sylvestres, elle s’adresse à chaque enfant intérieur et transforme les ombres en étincelles.

Côté prestige, son premier roman de fantasy, Anaon, a été lauréat des Murmures littéraires 2022 ; et deux de ses textes ont été sélectionnés lors du concours « Sorcellerie » de Short éditions en 2023.

Côté publication, le recueil collectif « Rendez-vous avec la nuit » des « Anciens de Licares », auquel elle a contribué, paraîtra courant 2024.

Enfin, côté gribouillage, elle travaille sur plusieurs romans d’imaginaire, dont deux tomes compagnons d’Anaon, et des romans destinés à la jeunesse.

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Maël Pascal (Quand le vent hurle)

Passionné par le fait de raconter des histoires, Maël Pascal est étudiant en audiovisuel et auteur de nouvelles. Très inspiré par La Horde du Contrevent, Dune ainsi que les films de Miyazaki, Il aime découvrir de nouveaux univers et partager les siens. Quand le vent hurle est sa quatrième nouvelle publiée.

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Sylvie Arnaud (Supplique pour un murmure en forme de pantoum)

Elle écrit dans les nuages depuis l’enfance, mais la vie s’est employée à décourager cette appétence. Faute de littérature, elle a donc écrit, au fil des années, de jolies rédactions, des lettres de remerciements, des discours, dont certains en vers de mirliton, de déchirantes réclamations administratives, des éloges funèbres.

Aujourd’hui à la retraite, elle peut enfin s’adonner à l’inactivité qu’elle préfère, rêver beaucoup, écrire un peu. Elle peut aussi se livrer à son péché : traquer les alexandrins dans les modes d’emploi, les discours, les émissions scientifiques, les informations, les séries…

Ce qui l’autorise à délivrer ce message universel : Attention à la marche en descendant du train !

Tiny Trieu (L’appel des sirènes)

Aussi loin qu’elle s’en souvienne, Tiny a toujours aimé raconter des histoires par les arts, de la musique au dessin, en passant par le théâtre.

Aujourd’hui étudiante en médecine, elle continue d’entretenir cette passion au travers des mots. Elle tente, par ses textes, de conter ses expériences, ses émotions, de transmettre ses joies et parfois ses peurs, d’apporter une pointe de réconfort à ceux qui voudront bien la lire. Avec ses histoires, elle veut faire rêver un peu les autres, en espérant rendre fière la petite fille qu’elle était.

Manu De Wit (Lettres mortes)

Manu de Wit aime les histoires. Les aventures, les épopées, la magie et le rêve. Tout ce qui lui permet de s’évader. Or, cette évasion, il veut la partager. Alors, il imagine des récits qu’il écrit. Des nouvelles, des romans, en laissant la porte ouverte vers d’autres expressions, comme la poésie, la bande dessinée, le podcast… Et puis, il raconte des histoires lors de spectacles de déclamation.

Il est éclectique dans ses goûts littéraires. Et pour une histoire lue, trois, six, dix autres naissent en lui, se déploient. Mais son écriture à lui plonge dans le fantastique, le réalisme magique et la fantasy.

Cécilia Duminuco (Le souffle de la geisha)

Formée en conservation-restauration de livres et manuscrits, auteure et maman à plein temps, Cécilia est passionnée de lecture et d’écriture. Le plus souvent le nez plongé dans un roman ou la tête dans les étoiles, les mots ont toujours été pour elle un portail vers d’autres univers qu’elle ne se lasse pas d’explorer. D’aussi loin qu’elle s’en souvienne, elle aime passer son temps à gribouiller dans des carnets, à écrire des contes, des poésies, des nouvelles fantastiques ou encore des romans… La Nature ainsi que les mythes, contes et légendes de par le monde nourrissent son imagination et ses écrits. Elle n’aime rien tant que de s’inventer des histoires pour colorer son quotidien.

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Sandy Heinrich (Murmures encyclopédiques)

Férue de littératures, de voyages et de découvertes, la vie de Sandy Heinrich a très tôt été rythmée par le bruit des pages qui se tournent. Passant de la lecture à l’écriture d’abord pour s’amuser, puis par nécessité, poser les mots sur du papier lui permet d’habiter un monde chaotique et absurde. A 34 ans, écrivaine féministe et engagée, elle travaille dans différents pays d’Europe et d’ailleurs avant de revenir poser ses valises en France. Elle rédige principalement des nouvelles et des poèmes, en prose comme en vers, qui ont été primés à différents concours. 

Ouranide (MURMUR(erre)MENT)

Ouranide est née et a grandi en France. Elle n’a jamais quitté le vieux continent, mais elle fait partie des personnes qui n’ont pas besoin de voyager pour que leur esprit se mette à flâner.

Elle vit à la frontière entre le rêve et la folie.

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Marie-Hélène Moreau (Le préféré)

Marie-Hélène Moreau écrit romans et nouvelles, souvent noirs, dans lesquels elle donne une place centrale à la psychologie des personnages. Outre plusieurs prix reçus lors de concours littéraires, des publications dans des revues et une participation à plusieurs recueils collectifs, elle a déjà publié un recueil de nouvelles et six romans aux éditions L’Harmattan, Aethalidès et La mouette de Minerve.

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Marina Perez (Murmures et vie de famille)

Touche à tout et sans genre de prédilection en particulier, Marina Perez signe avec Murmures et vie de famille sa première nouvelle publiée. D’abord dans des carnets secrets, puis sur des applications de partage, c’est pendant ses années de lycée qu’elle s’essaie réellement à l’écriture. Voyant que ses mots plaisent à quelques personnes et encouragée par ses proches, elle tente de faire voyager ses écrits au travers de divers concours. Depuis ses premiers essais, plusieurs scénarios grandissent dans son esprit et attendent d’être menés à terme : un roman léger retraçant une amitié entre deux personnes qui se recherchent, un thriller portant sur un jeune homme déboussolé et son « auteur », ou bien encore un monde magique dans lequel le protagoniste n’est pas si « gentil » que ça.

Julien Raynaud (Le concours « murmures »)

Julien Raynaud est enseignant. Il a publié une pièce de théâtre humoristique en 2014 (Clarice et Maria, vieillesse comique, éditions Presses électroniques de France), un premier court roman épistolaire en 2022 (La séparation, éditions L’ire de l’ours). Entre les deux, plusieurs de ses nouvelles ont été publiées en revues (Revue Rue Saint Ambroise n° 47, Revue du droit insolite n° 1) ou en recueils (aux éditions du Basson, Arkuiris ou encore Lamiroy).

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